LUCIFER... le comité des 300... B'nai B'rith...

LUCIFER... le comité des 300... B'nai B'rith...

Le B’nai B’rith international, loge franc-maçonnique sectaire juive par:

https://francmaconnerieexposee.wordpress.com/2015/09/01/le-bnai-brith-international-loge-franc-maconnique-sectaire-juive/

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Le B’nai B’rith international, loge franc-maçonnique sectaire juive

 

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L’Ordre indépendant duB’nai B’rith (בני ברית) (de l’hébreu : « Les fils de l’Alliance ») est la plus vieille (1843)  organisation juive toujours en activité dans le monde. Calquée sur les organisations maçonniques, elle a été fondée à New York, le 13 octobre 1843, par douze personnes, dont Henry Jones et deux frères juifs émigrés d’Allemagne, qui avaient appartenu à la Société des Frères (Brüder Bund) qui joua un certain rôle dans l’élaboration de la Première Internationale (Association internationale des travailleurs).

 

Le B’naï B’rith, en France comme à l’étranger, est pourtant totalement inconnu du grand public. Calquée sur le modèle des organisations maçonniques, cette association de solidarité a en effet toujours cultivé la discrétion.

Mystères et Secrets du B’naï B’rith, Emmanuel Ratier, éd. FACTA, 1993, p. 418

Nous nous trouvons là en présence d’un ordre maçonnique juif, méconnu du grand public, mais très puissant, et qui n’a qu’un seul objectif : celui d’instaurer le pouvoir mondial juif. Il est évident qu’il s’agit là du faux messianisme et d’une fausse espérance.

Paul Ranc cité par Pierre Barrucand, La Franc-maçonnerie sous l’éclairage biblique, Editions Contrastes, 1989 cité dans haines d’hier et d’aujourd’hui p.15.

Le B'nai B'rith (maçonnerie juive) et la France catholique !  

Ajoutée le 7 oct. 2012

Source : hebdomadaire « La libre parole » paru le 1 Juin 1936, intitulé « Sous la botte de Judas, les manœuvres de Blum », les B'nai B'rith, p14 à 17.

http://fr.scribd.com/doc/95328315/La-...

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Mystères et secrets du B’Naï B’Rith
De Emmanuel Ratier

secrets-du-bnai-brith-emmanuel-ratier1[Télécharger PDF] Rien à la Bibliothèque nationale sur le B’naï B’rith, hormis une modeste brochure en hébreu, une autre en anglais, une en allemand de 1932, et une quatrième d’un antisémitisme outrancier…

Pratiquement rien à la Bibliothèque du Congrès à Washington et rien non plus à la British Library de Londres. Pourtant, selon l’Encyclopaedia Judaica (1970), le B’naï B’rith (ou Fils de l’Alliance) constitue  » la plus ancienne et la plus nombreuse organisation juive d’entraide, organisée en loges et en chapitres dans 45 pays. Le nombre total de membres est d’environ 500 000 (hommes, femmes et jeunes). li y a 1 700 loges masculines, 25 % se trouvent en dehors de l’Amérique du Nord, avec un nombre de 210 000 hommes, et un budget américain d’environ 13 millions de dollars. Ses programmes couvrent la totalité des centres d’intérêt juif et incluent plusieurs programmes dans l’intérêt plus large de la communauté. » Étrange tout de même, dans ce cas, qu’une telle association, fondée aux Etats-Unis en 1843 et en France en 1932, n’ait pratiquement jamais rien publié sur elle à l’étranger ou en France.

La première enquête au monde sur la plus ancienne (fondée en 1843) et la plus nombreuse (650 000 membres) organisation juive mondiale. Ses dirigeants, ses personnalités (comme Sigmund Freud ou Albert Einstein), ses liens avec d’autres associations, ses réussites politiques et diplomatiques (par exemple, la reconnaissance par les Etats-Unis, de l’Etat d’Israël), son influence au Vatican, etc. L’influence de la Maçonnerie juive est examinée en France et dans le monde. Organigramme complet des loges françaises, la vérité sur le « serment des B’naï B’rith » qui a exclu le Front national du jeu politique, ses soutiens politiques et financiers, la liste de ses invités, etc. Index de plus de 2 000 noms. Ce livre, parfaitement documenté, n’a jamais fait l’objet d’aucun procès malgré ses révélations explosives.

  • Broché: 416 pages
  • Editeur : Facta (1993)
  • Langue : Français
  • ASIN: B007Q2BRYS
  • Dimensions du produit: 25 x 18 x 3 cm
  • Achat B’nai B’rith – Les Fils de l’Alliance – est la plus vieille organisation juive maçonnique toujours en activité. Elle fut fondée en 1843 à New York.]

emmanuel-ratier-B-nai_B-rithJusqu’en 1873, le B’naï B’rith ne se développa que sur le territoire nord-américain, où furent établis les divers districts:

  • District I. New York (1851) : Connecticut, Maine, Massachusetts, New Hampshire, Rhode Island, Vermont, Canada oriental.
  • District II. Cincinnati ( 1851) : Colorado, Kansas, Indiana, Kentucky, Missouri, Ohio.
  • District III. Philadelphie (1852) : Delaware, New Jersey, Pennsylvanie, Virginie du Sud.
  • District IV. San Francisco (1863) : Arizona, Californie, Montana, Idaho, Nevada, Oregon, Utah, Washington, Canada côte Ouest.
  • District V. Richmond (1867) : Floride, Géorgie, Maryland, Caroline du Nord, Caroline du Sud, Virginie, district de Columbia (ville de Washington et siège du gouvernement).
  • District VI. Chicago (1868) : Illinois, Michigan, Iowa, Minnesota, Nebraska, Dakota du Nord, Dakota du Sud, Wisconsin, provinces canadiennes du Manitoba, de l’Ontario et de l’Alberta.
  • District VII. New Orleans (1873) : Alabama, Arkansas, Louisiane, Oklahoma, Tennessee, Texas.

En 1873, fut créée la première Loge en dehors des Etats-Unis, non en Allemagne, comme on le croit généralement, mais au Canada, à Toronto (la seconde le fut à Montréal en 1881). Le 21 mars 1882, l’U.O.B.B. créa son premier temple outre-Atlantique, à savoir dans le Reich impérial allemand. Il en résulta en 1885 la Grande Loge de I.U.O.B.B. pour l’Allemagne, ou District VIII. Suivirent la Roumanie (district IX) en 1889, la Tchécoslovaquie en 1919 (district X), l’Orient en 1921 (District XI), l’Autriche en 1923 (District XII), la Pologne en 1924 (District XIII), la Palestine en 1924 (District XIV), l’Angleterre (avec l’Irlande) en 1925 (District XV). S’y sont ajoutés par la suite le District XIX (Europe continentale), District XX (Amérique latine, sauf le Brésil, aujourd’hui disparu par éclatement), District XXI (Australie et Nouvelle-Zélande), District XXII (Canada, sauf la Colombie britannique demeurée dans le District IV), District XXIII (Amérique centrale et Caraïbes, Venezuela, Mexique), District XXIV (Afrique du Sud), District XXV (Brésil), District XXVI (Argentine), District XXVI (Chili), District XXVIII (Uruguay). En 1982, le B’nai B’rith comptait des Loges dans 46 pays et sur les six continents.

En 1888, à Breslau (Reich allemand), fut créé un premier chapitre féminin, mais ce n’est qu’en 1909àSan Francisco que la première Loge féminine américaine auxiliaire fut officiellement constituée sous la dénomination « Les Femmes auxiliaires de la Loge de Columbia », devenue le Chapitre de San Francisco n° 1 (elle fonctionnait de fait depuis 1897). Cette création connut un immense succès auprès des femmes juives, et elle devait aboutir à la fondation d’un Conseil suprême féminin en octobre 1940. Les Sœurs, qui étaient 30 000 en 1940 et 130 000 en 1955, n’obtinrent le droit de voteàla Suprême Loge qu’en 1953. En avril 1991, une femme, Elaine Appelbaum, a été élue pour la première fois à la présidence d’un district américain, le District II (Middle West). Encore une fois, c’était l’Europe qui était en avance, puisque dès 1982, une femme, Sylvia Lewin, était devenue présidente du District XV (Angleterre et Irlande).

En 1930, l’Ordre Indépendant du B’naï B’rith vota la suppression formelle de ses deux premiers mots, devant sur son papier à lettres le B’naï B’rith. Toutefois la définition et le sigle (LO.B.B.) demeura très longtemps à l’honneur. Ce n’est en fait qu’à la Convention biennale de Tel Aviv en 1974 que l’Ordre du B’naï B’rith devint le B’naï B’rith international (B.B.I.) .

Durant la Seconde Guerre mondiale, l’LO.B.B. comptait donc quinze districts, chacun d’entre eux englobant une certaine étendue de territoire, L’autorité du district est la Grande Loge, qui se compose de représentants des Loges, à savoir des Frères qui ont été présidents d’une Loge pendant un an au minimum. A la tête de la Grande Loge, se trouve le Grand Président qui, avec le Grand Secrétaire, le Grand Trésorier et le Vice-Grand Président, constitue la présidence. Les Grandes Loges se réunissent à intervalles en congrès ; entre-temps, un Comité Général dirige les affaires. La représentation de l’ensemble de l’Ordre s’effectue par l’intermédiaire du Comité exécutif, composé de représentants des districts. A sa tête se trouve le Président de l’Ordre. Le Comité exécutif est fixé par l’assemblée plénière qui comprend les représentants des districts de l’Ordre. Se réunissant tous les cinq ans, elle est appelée Grande Loge de Constitution (devenue la Suprême Loge).


En 1982 a été créé le Congrès mondial des présidents de loges et de chapitres B’naï B’rith.
La structure du district est établie sur la base de la Loge. L’administration de la Loge est organisée dans tous les districts de la même manière. Un conseil administratif (président, vice-président, secrétaire, secrétaire des finances, trésorier, mentor, gardien) et des comités dirigent les affaires, selon le règlement. Lorsqu’il y a un nombre minimum de cinq Loges ou mille membres, les Loges ont le droit de former une Grande Loge. Les Loges peuvent, à l’intérieur d’un district, former des groupements divisionnaires et fonder une union des Loges, destinée à s’occuper, en dehors des questions générales, des questions locales de la province.


L’organisation de base du B’naï B’rith est la Loge. Un minimum de 20 Frères est requis pour fonder une Loge, dans une ville ou une zone où l’Ordre n’existe pas, et 50 là où il existe déjà.
Chaque Loge est subordonnée à la Grande Loge de District, mis à part les Loges des zones non couvertes par un District qui relèvent de la Suprême Loge. Les Loges dans un District peuvent appartenir à des organisations inter-loges comme les Conseils ou les Conférences, établies par la Grande Loge de District. Chaque District tient des Conventions où se retrouvent les délégués des Loges. Entre les Conventions de District (13 Districts distincts), les activités sont régies par la Commission exécutive de la Grande Loge de District. L’ensemble des Districts composent la Loge Suprême, et la Constitution du B’naï B’rith indique que la juridiction de l’Ordre est investie dans la Loge suprême. La Suprême Loge se réunit tous les trois ans à une Convention de délégués, élus par les Districts et fondée sur le nombre de Frères. Le travail de la Loge Suprême est régi par un Bureau des Gouverneurs, composé d’officiers, représentants des Districts et représentantes du B’naï B’rith féminin.

La Loge suprême effectue le travail par le biais de Commissions qui suivent les programmes majeurs de la Suprême Loge, comme la Ligue Anti-Diffamation (1913), la Fondation Hillel (1923), l’organisation de jeunesse du B’naï B’rith (1923), le Bureau du service des vocations (1938), Israël, etc. Des comités sont dévolus à des opérations spécifiques comme la Fondation du B’naï B’rith au U.S.A., la Fondation Henry Monsky, le Bnai B’rith Jewish Monthly.


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Les activités de l’Ordre divergent selon les pays et les directions. A l’intérieur du B’nai B’rith fonctionne une machinerieàdiriger, élaborée d’après 97 années d’expérience, afin d’être compétente dans toutes les affaires qui concernent le peuple juif, qu’il s’agisse d’un pogrom dans un pays lointain, d’un cyclone sous le tropiques, de la jeunesse juive en Amérique, de l’antisémitisme, de l’aide aux réfugiés, de la préservation des valeurs culturelles juives, etc. En d’autres termes, le B’nai B’rith est ainsi organisé afin qu’il puisse apporter des secours de toute sorte en cas de nécessitéàla communauté juive. (Bnai B’rith Magazine, 1940).

Les chiffres des Loges, des membres, etc., varient considérablement – et de manière contradictoire – selon les diverses sources. Les statistiques les plus fiables portent sur les Etats-Unis. En 1914, l’Ordre comptait 402 Loges, 83 cercles féminins, 46 489 membres aux U.S.A. et au Canada. En 1925, ils étaient 13 000, en 1934/ 1944, 150 000 et en 1988, 500 000. L’Agence télégraphique juive donne 414 Loges (6 février 1937), 401 Loges et 215 Loges en Europe, Asie et Amérique du Sud (17 avril 1937), 548 Loges avec 74000 Frères (New York Jewish News, 19 mai 1939). Le Who’s Who in American Jewry (1938-1939) donne 450 Loges aux Etats-Unis et au Canada, tandis que Henry Monsky, nouveau grand Commandeur de l’Ordre, donnait le 28 février 1941 150 000 Frères en 900 Loges.


Présidents successifs du B’naï B’rith :

Henry Jones (1843-1855), Mosely Ezechiel (1855-1856), Julius Bien (1856-1 860), Henri Marcus (1860-1868), Julius Bien (1868-1900), Leo Levi (1900-1904), Adolf Kraus (1905-1925), Alfred M. Cohen (1925-1938), Henry Monsky (1938-1947), Frank Goldmann (1947-1953), Philip M. Klutznick (1953-1959), Label Katz (1959-1964), William A. Wexler (1965-1971), David M. Blumberg (1971-1978), Jack J. Spitzer (1978-1982), Gerald Kraft (1982-1986), Seymour Reich (1986-1990), Kent Schiner (1991).

 

  • Un autre extrait : Un discours du Frère Freud
« Vénérable Grand Président, distingués Présidents, chers Frères, Merci pour les honneurs dont vous m’avez gratifié aujourd’hui ! Vous savez pourquoi je ne puis répondre de vive voix. Vous avez entendu fun de mes amis et disciples parler de mes travaux scientifiques, mais le jugement sur ces choses est difficile et peut-être encore longtemps non formulable avec une sûreté complète. Permettez-moi d’ajouter au discours de l’autre Frère, qui est aussi mon ami et mon médecin attentionné (Dr Hitschmann). J’aimerais vous communiquer brièvement comment je suis devenu un Frère du Ben B’rith et ce que j’ai cherché chez vous. Cela s’est produit dans les années après 1895, où deux forts sentiments se combinèrent en moi pour aboutir au même effet. D’une part, j’avais acquis les premiers aperçus dans les profondeurs de la vie sensuelle de l’homme et avais vu de nombreux éléments qui pouvaient être désenchanteurs, qui pouvaient même en effrayer plus d’un à la première approche. D’autre part, la publication de mes déplaisantes recherches eut pour résultat que je perdis la plus grande partie de mes relations personnelles du moment ; je me sentis comme banni, évité par tous. Dans cette solitude s’éveilla en moi le désir de fréquenter un cercle d’hommes choisis et d’intelligence supérieure, qui puissent m’accueillir amicalement, en dépit de mes témérités. Votre association me fut indiquée comme le lieu où de tels hommes se trouvaient.
Emmanuel Ratier – Mystères et secrets du B’nai B’rith
(1993) [Télécharger PDF]

 

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